Enam Miura. ^^

C a r t e . D ' i d e n t i t é e

Enam Miura
18 ans.
Date de naissance
AB-
Indifférent.

M o n . P e r s o n n a g e

Histoire:

Tu connais Gun city ?

Je suis né un certain jour de janvier, dans un petit village qui sentait la mort. Notre première activité sans honte était la vente d’armes & mon père faisait partit de ceux chez qui les gros bourrins de la mafia venait se servir. Ennemis ou pas, mon père il en avait rien à battre, il faisait marcher son petit commerce et autour du monde, de façon totalement illicite, le nom de ma famille se murmurait. Nous ne connaissions ni l’estime, ni la fierté. Mon père savait quand s’abaisser et quand au contraire il ne devait pas le faire. Nous étions continuellement en danger ma famille et moi. Craignant à chaque coin de rue de se faire kidnapper, fracasser ou tuer parce que mon père avait fait une bavure. Quand j’ai poussé mon premier hurlement, j’avais déjà 4 frères et 2 sœurs qui m’attendaient a la maison et pourtant je ne serais pas le dernier. Les moyens contraceptifs n’étaient pas en vogue chez nous et si rare déjà en ville, dans notre village paumé, même le nom était inconnu. Mon père gaver de toutes la ribambelles de gosses que ma mère (D'origine Coréenne) pouvait évacuer par année, il décida de ne pas vraiment nous donner de prénoms. En vérité, selon notre ordre de naissance nous avions des chiffres pour prénoms et suivant la nationalité des clients de mon père, nous avions des prénoms différents. Etant le septième de la famille, je me nommais « Nana » en japonais, « Seven » en anglais, « Seks » en Norvégien, « Seis » en Espagnol, « Enam » en Indonésien, « Sàu » en vietnamien, « Anim » en philippin & « Sein » en Italien. Le prénom qui revenait le plus souvent était « Enam », étrangement Il sembla que ma mère en aimait la prononciation. J’avais un grand frère de 22 ans, deux jumelles de sœurs de 20 ans, un autre frère de 19 ans et deux jumeaux de 18 ans. Leurs prénoms variaient très souvent eux aussi et je ne les appelait de toute façon que très rarement. L’amour familial n’était pas quelque chose que nous connaissions dans notre famille et plus encore dont nous parlions. Dès l’âge de 6 ans, avant même de lire, je savais déjà les ficelles du métier de mon père et monter une arme. A l’age de 10 ans, je savais en fabriquer une. Tout cela en restant excellent a l’école que je fréquentais quand j’avais rien d’autre à foutre. Je ne fis pas attention véritablement a la naissance de mes autres frères et sœurs juste après moi. La seule chose dont je me souviendrait toute ma vie fut la mort d’un des jumeaux a l’age de 23 ans. Descendu d’une balle dans le crâne sou mes yeux pour avoir un peu trop chercher la merde. Plus encore que la tristesse d’avoir perdu un fils, ce fut le désespoir et la fureur qui rongèrent mon père d’avoir perdu de bon client. Bilan de l’histoire, mon père ne vint pas à l’enterrement. L’autre jumeau il est devenu bizarre et à 25 ans, il n’eut pas besoin qu’on lui foute une balle dans le crâne, il se l’est foutu tout seul. Mouais. Quant à moi, dès l’âge de 12 ans, je commençais a fréquenter plus souvent le collège histoire de m’éloigner un peu de la maison. Ma mère avait finit par atteindre la ménopause et on ne pouvait espérer meilleur nouvelle puisque nous étions déjà 12 enfants a la maison. Le week-end je bossais comme un acharné, aidant mon père à la tache, semblant être le seul de la famille a m’intéresser vraiment. Mon tout premier frère était déjà marié depuis plus d’un an et sa femme était enceinte. Chouette un neveu ! Une des sœurs jumelles étaient enceinte et l’autre allait se marier. Quand a mon autre frère … J’sais pas. Je m’en foutais en faites. Il n’avait jamais été très souvent a la maison. En y pensant, je m’étais toujours demander pourquoi ma mère avait laissé 18 ans passée avant de me mettre au monde. En vérité c’est que pendant cette période elle avait multiplié les fausses couches et était tombée gravement malade durant une très longue période qui signifiait l’abstinence pour mon père. Après moi néanmoins, ils s’étaient radicalement lâchés.

Mon père admirant mes capacités intellectuelles et mes résultats scolaires comparés au reste de ma famille, décida de me payer les cours a moi seul et cela arrangea d’ailleurs le reste de ma famille qui de toute façon ne voyaient pas leurs vies ailleurs qu’avec mon père. Je trouvais ça tellement con. On nageait dans la merde, dans l’illicite et je n’avais qu’une seule envie, me barrer. A l’age de 13 ans je perdis mon pucelage avec une de mes cousines éloignées dans les champs et à partir du moment ou je le fis une fois, je voulu le refaire tout le temps. Je m’attaquais a des proies beaucoup plus âgées que moi pour permettre au autre de pouvoir se marier l’esprit tranquille. C’était fun, l’une des meilleures parties de ma vie je crois. Je continuais les cours tranquillement et je continuais ma route. A l’age de 15 ans, un client a mon père, d’origine japonaise me prit sous son aile en tant qu’apprentis. J’étais en quelque sorte son larbin de service mais j’avais le style et j’étais bien payé. Puis en quelques mois a peine, je parlais déjà couramment japonais en plus de l’anglais que j’apprenais en cours. Néanmoins, à l’age de 17 ans, je fis la bavure qui coûta la vie de ma famille. Un client Indien réputé comme très violent ramena sa fraise chez mon père accompagner de toute sa clique et surtout, de sa nouvelle copine, une très belle vietnamienne qui me fit tourner la tête. Il sembla qu’elle craqua sur ma tête de jeunot dès que nos regards se croisèrent et entre nous, ce n’était absolument pas de l’amour mais plutôt un violent désir. Elle me rendait très souvent visite la nuit dans ma chambre et tout allait magnifiquement bien jusqu’au jour ou cette salope commença a me faire du chantage. Elle voulait tout et n’importe quoi. Que je la suive avec son indien de mari pour être son amant etc. … Evidemment, je refusai catégoriquement. Elle ne le supporta pas. Et à l’inverse des films que vous voyez a la télé, elle ne me donna pas de deuxième chance. Je fus balancé. Bien sûr, elle avait sous-entendus que j’avais les mains un peu baladeuses. Au début, j’ignorais bien évidemment qu’elle avait osé faire ça. Et un soir que je rentrais de l’école, en passant le portail de ma baraque, je sentis très vivement l’odeur du sang. Elle me prit par les tripes, me remonta jusqu'à la gorge et je me mis a vomir juste devant mon portail. Par courage ou peut-être aussi avec un certain voyeurisme malsain je mis le pas sur le perron et ouvrit la porte. Ils avaient tous été massacrés. Mes frères, mes sœurs, mon père, ma mère … Malheureux hasard, le vendredi soir tout le monde se réunissait pour un dîner familial dès plus emmerdant ou j’aimais me pointer en retard et entendre mon père gueuler. J’étais le seul survivant. L’ultime. A ce moment précis de l’histoire, une once de fierté pointa son nez derrière mes barrières juste histoire de me rappeler a quel point je pouvais être un gamin dégueulasse. Je pris mes jambes a mon coup, persuadé que cette bande d’enculés allait bientôt revenir ou qu’elle était encore pas loin. D’après certaines rumeurs il y eut une descente dans mon lycée. Mais j’étais déjà loin.

Je ne sais pas ce qui me poussa ce jour-là à courir vers le hangar. La peur, la haine … Je savais qu’il y avait des yeux partout et que ma présence serait détectée à n’importe quel moment. Ma tête était mise a prix et au prix fort putain de sa race, au prix fort ! Le hangar était le repère de la mafia japonaise et son boss n’y séjournait pas tout le temps. Mais j’eus une chance inespéré ce jour-là et dès que je me mis a raconter mon histoire, je me pris un pain dans la gueule et ce salopard m’explosa de rire à la gueule. Je savais de cette façon que j’étais protégé. Il m’envoya au Japon dans une famille tranquille pépère bien que le vieux de la maison se faisait filer des pilules. Je continuais d’aller au lycée et mes notes devenaient brillantes. J’étais un élève brillant et je n’avais de toute façon pas le choix. On me donna des papiers, une identité … J’étais libre. Je garda Enam en prénom, en souvenir de ma mère et l’on me donna le nom de famille de ceux qui m’avaient adopté. Je ne devais rien au patron a part de lui rendre la pareille un jour et de me tenir a carreau, sinon il me promettait de me descendre lui-même. Et a 18 ans, on me paya ce magnifique voyage organiser par le lycée ou j’étais récemment implanté. Et j’me suis retrouver la bordel. Bordel …

Caractère:
Enam n’est pas un garçon très complexe voyez-vous. Bien au contraire. C’est un jeune homme qui se contente de ce qu’il a tout en restant quelqu’un d’ambitieux. Il n’a pas de trait de caractère particulier. Il est assez indifférent, certes. Pas froid. Car il lui arrive souvent de sourire et de rire à une bonne blague. Ce n’est pas quelqu’un d’extrêmement joyeux, ça c’est certain mais il reste assez agréable de compagnie quand il le veut. Enam est très introvertie et assez timide. Il se réfugie donc dans l’arrogance et peut paraître assez inintéressant au premier abord. N’étant pas quelqu’un de bavard, il ne vous fera pas la discussion mais s’il vous aime bien, il lui arrivera de montrer des signes de sympathies, en s’intéressant a vous, a vos centres d’intérêt. C’est simple. Œil pour œil, dent pour dent. Faites-le chier et il vous fera chier. Soyez cool, il sera cool. Enam est quelqu’un d’assez invisible et on peut dire que ça l’arrange bien. Il n’en a complètement rien à battre de vos jugements et de vos tronches. Là-dessus on pourrait le qualifier d’égocentrique mais ce n’est absolument pas cela. Disons que pour lui c’est plus simple de vivre tout seul car il a beaucoup de mal a se faire aux gens. Il doit faire des efforts pour composer avec eux, vaincre sa timidité qui le rend si agaçant parfois etc. … Enam est beaucoup sur la défensive, il se protège de pas mal de choses. Il ne raconte pas son passé vous vous en doutez bien. Déjà car cela mettrait partiellement sa vie en jeu et que Mr est conscient que sa vie d’avant n’est pas quelque chose de courant et l’idée de se faire remarquer lui donne des frissons. Enam à une qualité merveilleuse c’est qu’il n’est pas versatile. Toujours égal à lui-même, matin & soir, il a apprit à garder pour lui ses sautes d’humeurs. Enam est malheureusement dans le langage assez vulgaire parfois. Il a appris le japonais a l’oreille principalement et c’est avec des bavardages de rues qu’il s’est familiariser a la langue. Néanmoins quand il s’énerver, c’est en philippin qu’il gueule, c’est pour cela qu’il préfère très nettement garder son calme. Il a une capacité de garder son sang froid énorme, canalisant toutes ses mauvaises énergies dans le dessin qu’il pratique divinement. Néanmoins, très peu de personnes connaissent ce talent puisqu’il le garde pour lui, généralement.

Enam n’est pas expansif néanmoins c’est quelqu’un de très libre. Donc il lui arrive de sourire très franchement, de bien rigoler … Il ne pleure pas et s’énerve très rarement. Ou alors il s’énerve mais s’arrange pour s’énerver tout seul. Il déteste se retrouver en public, la foule l’oppresse. Il aime la tranquillité, la nature … Enam ne le montre pas mais c’est quelqu’un qui s’émerveille d’un rien. Il trouve que la vie vaut assez la peine d’être vécue. Que le passé est le passé et qu’il faut savoir avancer. Ne jamais regretter. Du moins, essayer. Enam a une énorme fissure dans ses fondations. La culpabilité et la vengeance le rongent peu à peu. Son avenir est incertain et il mourra sûrement très jeune. Mais il se l’est promis. Il la retrouvera coûte que coûte, cette salope ! Enam ne se trouve ni beau, ni moche. Néanmoins il a assez peu confiance en lui et essaye de ne pas trop faire attention a sa personne. Il est aussi simple dans son caractère que dans son style de vêtement. Il opte souvent pour des pantalons assez large et des bonnets lui retombant un peu sur le visage. Est-ce que Enam est attachant ? Je n’en sais rien. Mais je ne crois pas non. Ou alors dans son style. Cela dépendra des personnes, de la situation … Enam ne peut pas être qualifié comme quelqu’un de franc mais il n’est pas hypocrite non plus. Il ne pense pas grand-chose des gens dont il n’a rien à foutre. Néanmoins, s’il vous fait une remarque c’est que vraiment vraiment vous faites partie intégrante de sa vie. Car de un il aura oser vous faire une remarque et que deux, cela voudrait dire qu’il vous a observer. Ne serait-ce que si vous avez une petite tache sur la chemise … Ce sont des détails comme ceux-là qui prouvent un certain attachement qu’aurait ou qu’a Enam pour vous. Quant à la signification de son prénom très peu de gens savent qu’il s’appelle en réalité « 7 » et cela est très bien ainsi. Enam pourrait être assez banal. Mais sa banalité et sa simplicité ajoute un certain charme tant il est dur de voir quelqu’un d’aussi simple de nos jours.

Phobies :
Le sentiment de culpabilité. Il le refoule au maximum mais il a une peur constante que celui-ci refasse surface. Celui de tomber amoureux, de s'attacher. Cela fait peut-être très niais néanmoins, il a de nombreuses fois pu voir des gens s'abaisser a des choses monstrueuses pour une raison appelé "amour" et comme Enam craint ce qu'il ne comprend pas ... Et SURTOUT, se retrouver, tout seul, sur une scène devant un immense publique. Que tout les yeux soient braqués sur lui. Rien que d'y penser cela lui filerait presque la nausée.
Passions:
Le dessin. Enam est très doué en dessin. On pourrait inclure aussi la fabrique d'arme a feu et tout ce qui peut concerner ce sujet mais Enam reste plutôt discret là-dessus.
Relations:
Pas de relations particulières. Enam aime autant la solitude que la compagnie. Enam ne supporte pas les gens qui se la jouent froid et méchant sans raisons apparentes ou par meurtrissure d'une histoire douloureuse. Il faut savoir enfouir le passé et ne pas le faire subir aux autres. Il aime les gens simples, cool, pas trop curieux, pas trop bavard et surexcité. Mais surtout, Enam aime les gens intéressant.
Autre(s): Enam a un tatouage en bas du dos en signe de code barre avec 12 "7" remplacant le numéro normalement posé sur les codes barres. Il lui arrive aussi de porter des lunettes.
E n . D e h o r s . D u . J e u . . .

Nom: Elisa n_n
Présence sur le forum ? J'essayerai tout les jours mais au moins 2 ou 3 fois par semaine ^^
Accepteriez vous que votre personnage soit tué et/ou affecté gravement au cours des intrigues à suivre ? Tué, peut-être pas tout de suite xD Affecté gravement oui, pas de problème ^^
Votre personnage serait-il prêt à tuer des gens pour son propre plaisir ? Non. Carrément pas, non.
Célébrité figurant sur votre avatar: Lee Jun Ki.
Autres Précisions ? J'étais sur l'ancienne version de SI sur aceboard ^^